Au jeu: Guylène Olivares, Anastasia Guevel, Norma Mugner et sa harpe, Bruno Marin.
Regard extérieur/ aide au jeu, Gabriel Sparti.
Lumière et régie générale, Lucien Dumesnil.
Conseil scénographie, Anne Mortiaux
Accessoiriste, Loïse Aline
Dramaturgie, Arthur Trigaux
Administratrice déléguée Sylviane Evrard et Travaux public asbl
Guylène Olivares est une actrice formée au conservatoire de Montpellier et à l’Insas à Bruxelles (promotion 1996 avec les distinctions du jury).Elle est de nationalité franco-belge.Elle a fait partie de la compagnie lausannoise Jours Tranquilles dirigée par Fabrice Gorgerat mêlant improvisations, travail de corps, de voix et de textes.Elle a joué en Belgique, en France, en Italie pour les metteurs en scène : Stéphane Arcas, Jean-François Noville, José Besbrovany, Gisèle Vienne et Etienne Bideau-Rey, Mohammed Driss, Marco Baliani, Denis Marleau, Sabine Durand, Julien Bouffier, Delphine Cheverry, …Elle sort des limites du théâtre avec Ugo Dehaes compagnie Kwaadbloed (danse et texte en néerlandais), avec Bernard Gaube peintre (modèle, lectrice et performeuse) et avec le groupe de musique Nommo pour des spectacles/performances. Depuis 2013 elle participe au festival artistique féministe de Games Ovaires en tant que comédienne sur divers projets de théâtre et aussi travers des installations, des lectures performatives telles que son dispositif de boîte à secrets.En parallèle à une réflexion féministe elle se forme à l’animation d’atelier d’expression et de créativité à l’institut Rhapsodie et se nourrit des réflexions autour de l’art et de la thérapie, en lien avec le processus créatif.Elle joue en tournée à Bruxelles et en Wallonie, le spectacle jeune public Cela Va Sang Dire de Delphine Cheverry sur les menstruations et prochainement dans le spectacle My Dear de Bruno Marin.
Elle a choisi Bruxelles pour y vivre et pour y travailler.
Anastasia Guevel est chorégraphe,performeuse et plasticienne. Installée à Bruxelles depuis 5 ans, elle co-dirige le run-space Loto. Elle est diplômée d’un master Art dans l’ESpace Public (AESP) et de l’Institut Supérieur des Arts et des Chorégraphies (ISAC). Danse, philosophie, de l’une à l’autre sa pratique interroge l’usage des corps dans la production de savoir. Au plateau elle développe, des pratiques à têtes – des théories sur jambes- qu’elle partage à travers le workshop Flamby’ ASMR. Actuellement elle travaille à la création du projet chorégraphique Slime avec le soutien de Charleroi danse et du studio Thor.
Bruno Marin
Porteur du projet.
Acteur, artiste martial, créateur de spectacles vivants.
Diplômé de l ‘Insas en interprétation dramatique. Formé professionnellement à la pratique du théâtre Nô ainsi qu’à l’art traditionnel du sabre japonais entre 2009 et 20019. Enseigne le module corps et espace aux étudiants de 3ème année en art dramatique à’ l’Insas, Bruxelles, ainsi qu’aux élèves de Arts 2-,école supérieure des arts de Mons. Showreel acteur https://vimeo.com/196592863 S’intéresse à une forme nouvelle de création théâtrale qui allie une écriture originale soutenue par une préparation physique reliant les interprètes de façon organique, écriture qui tend à se renouveler par des stratégies d’improvisation. Réalisations pour le spectacle vivant.: A créé avec le groupe Aristoklas L’anopodopadnodrome pour le Botanique à Bruxelles, Le kunsten Festival , en co production avec le théâtre de la Villette à Paris. Création,avec la complicité de la romancière Asli Erdogan, du spectacle Dans le silence de la vie à Dyarbakir en Turquie. A chorégraphié Da,l’animal au théâtre Marni Bruxelles, avec le soutien du Conseil de l’art de la danse. A créé Cosmic Robota avec Sébastien Cholet au centre culturel Jacques Franck, Bruxelles ainsi qu’à la Bellone.Performance l’Hydre 2 de Heiner Müller à la librairie Nijinsky à Bruxelles en 2019 Depuis 2018 écrit, construit et réalise le projet My Dear en dialogue avec différent.e.s artistes.
Lucien Dumesnil Créateur lumière et régie générale.
Arno Dengel . Videaste et monteur images. Jeune bruxellois cinéphile passionné par l’univers audiovisuel et le montage. Après avoir obtenu le CESS en 2017 et travaillé en tant que volontaire dans des centres d’aides aux migrants en Grèce pendant mon année sabbatique, j’ai suivi un an de formation au cinéma de l’HELB (Inraci) avant de m’inscrire à l’ERG en narration/vidéo ce qui me permet de me former en cadrage, montage, animation, écriture, etc..
Anne Mortiaux . Plasticienne et scénographe.
Diplôme d’enseignante en arts plastiques et de sculpture à la Cambre.
« Cheville ouvrière » de l’asbl des tas confus
Pratique artistique Installations, interventions en milieux rural et urbain, dans divers lieux publics (administratifs, culturels, scolaires…) et à l’extérieur (parcs, sites industriels, zones rurales…). Scénographie pour le théâtre(jeune public). Actuellement en projet à La Louvière sur la friche des faïenceries Boch-Keramis (« imaginez votre ville ») Pratique pédagogique Chargée de cours à l’ERG, en hautes écoles (Ispg Haute école Galilée), au CFMI à l’université de Lille 3 …
Collaboration constante avec des écoles primaires et maternelles, mise en place d’ateliers dans l’espace public pour enfants et adultes en Belgique et à l’étranger.
Conception et mise en place d’une classe d’argile dans une école fondamentale Bruxelloise Formations pour adultes en pédagogie artistiques (outils et démarche artistique au service d’une certaine pédagogie) Pratique de collaboration Avec des enseignants, des architectes, des compagnies de théâtre, des centres culturels….
Une démarche : je suis plasticienne. J’aime surtout sortir de l’atelier, arpenter les lieux, me charger d’histoires, d’images, de matériaux glanés ici et là, mettre en relation lieux de vie, de travail, les rencontres, la parole des anciens, des enfants et la pratique artistique,
Transporter des traces de pluies, des bouts de rivière, de la terre, de la vase dans des administrations…Transformer et singulariser un lieu par des constructions qui lient histoires et substances, toujours en prenant encrage sur les réalités du site’ aime aussi introduire les outils et le langage plastique dans les écoles et ainsi élargir le champ des apprentissages, développer des laboratoires, chantiers avec enfants et adultes. Ce à quoi je suis sensible dans un travail, une intervention dans l’espace public, un projet d’intégration: -la dimension conviviale, humaine, relationnelle, la notion d’espace public dans le sens du bien commun avec un soin et une cohérence dans les détails qui alimentent le « vivre ensemble «-la notion du lien, du liant, du chemin et des parcours portés par des éléments tels que l’eau, la terre, le minéral, le végétal, la lumière…-l’exploration de la grande et de la petite histoire des lieux, valorisation de la mémoire de ceux qui y ont habités, travaillés, aimés, soufferts, luttés…-la confrontation entre l’aspect humain d’un lieu et ses composantes visuelles et sensorielles. Dans un atelier/workshop : Dans la mise en place et animation d’atelier dans l’espace public ouvert à tous, J’aime mettre en valeur les caractéristiques du site, le fait de tirer parti des matériaux présents sur place, de proposer un dispositif de travail efficace et autonome, avec la possibilité d’expérimenter et d’éprouver une matière (par exemple l’argile), un mode de construction, d’assemblage .. , de proposer un plein contact avec la matière, (terre, argile, eau, couleur……………..)
Blog: https//annemortiaux.blogspot.com
Gabriel Sparti, directeur et conseiller pour le jeu.
Gabriel entre en 2015 à l’ESACT à Liège. A sa sortie de l’école, il travaille en tant qu’acteur sur une étape de travail du projet « Points de rupture » de Françoise Bloch et participe à divers travaux menés par Pietro Varrasso. Sa mise en scène, Heimweh / Mal du Pays, sera créée en mai 2023 aux Halles de Shaerbeek. Il a présenté la première étape d’un seul en scène à l’espace MAGH en janvier 2022.
Parallèlement à la création de ses spectacles, il travaille à l’École Supérieure d’Acteur·ices de Liège en qualité d’assistant.
Il intervient sur My Dear en qualité de directeur de jeu et comme collaborateur artistique.
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Arthur Trigaux, dramaturge et conseiller artistique sur le projet.
Arthur est finalement né le 14 juillet 1995, deux semaine après la date prévue. Jusqu’à aujourd’hui, il n’a toujours pas réussi à rattrapper ce retard. Il chemine avec la tranquillité qui lui est chère entre la musique, le théâtre, la philosophie, la linguistique, dessiner des dinosaures, la danse et autres joyeusetées qui jalonnent la vie. Il lui est arrivé d’étudier certaines de ces choses dans des écoles. À l’Insas par exemple. Débutant en tout, expert en rien, il s’évertue actuellement d’être en vie et de rester heureux. Mais il ne concoit pas qu’il ne puisse s’agir là d’autre chose que d’une question, non pas simplement individuelle, mais collective.
Arthur intervient sur le projet en temps que dramaturge et collaborateur artistique.